Le pouvoir des histoires
SUCCESS STORY
Reese Witherspoon : le pouvoir des histoires
Ne vous fiez pas à son look girl next door : ses robes à fleurs et sa blondeur d’ex-cheerleader de Nashville cachent la business-woman la plus redoutable d’Hollywood. Mais nous ce qu’on aime chez Reese Witherspoon, c’est la façon dont elle s’est réinventée : en pariant sur elle-même et sur les femmes.
L'histoire d'une renaissance
Après un succès fulgurant au cinéma dans les années 90 et un long passage à vide, Reese se replonge dans ses premiers amours. Grande lectrice, elle connaît le pouvoir des histoires : elle va aller chercher celles qui lui parlent, les financer, les raconter à travers sa maison de production. Carton plein en 2012 : elle produit « Gone girl », le brillant polar de David Fincher. C'est là que ça s'emballe.
Changer la narration des histoires de femmes
Derrière la série « Little Big lies », c'est elle. « The morning show », encore elle. Sa mission : changer la façon dont les femmes sont racontées. Son process : transformer son book club aux 2,5 millions d’abonnés en plateforme de test. Quand un livre séduit sa communauté, elle le transforme en film ou série. Dernier en titre : “Là où chantent les écrevisses”, livre d’une primo-écrivaine qu’elle a transformé en best-seller avant de l’adapter au ciné. Une adepte du lean, vous l’aurez compris…
HE SAID IT
WORK INSIGHTS
Rupture conventionnelle : indolore, vraiment ?
Votre job vous ennuie ou vous avez d’autres projets, mais pas les moyens d’une démission qui vous priverait des indemnités de chômage. Alors vous ne voyez pas pourquoi votre employeur vous refuserait une rupture conventionnelle : pas de justification à trouver, chacun reprend sa liberté et on se quitte bons amis. Pourtant, contrairement à une idée répandue, la rupture conventionnelle a pour l’employeur un coût certain, qui peut expliquer un refus. Petit récap pour mieux comprendre pourquoi la rupture conventionnelle n’a rien d’une évidence pour un employeur.
FINANCE TALK
La multibancarisation : un grand oui
S'il n'y avait qu'une chose à retenir de la faillite de la Silicon Valley bank : ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Héloïse Bolle, la conseillère en patrimoine derrière Oseille et compagnie admet que même si les probabilités de l'effondrement d'une banque sont moindres en France, autant miser sur plusieurs banques à la fois (la multibancarisation donc) pour protéger vos sous. Et ce même si vous n’avez pas le compte en banque d’Elon Musk.
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