La fin du “solo-freelancing” ?
WORK INSIGHTS
La vision de Walt Disney en 1957
Qui l’eut cru ? Tout le succès de la stratégie de Disney repose en réalité sur un schéma griffonné en 1957. Un plan minutieux rédigé par Walt Disney lui-même, dans lequel le visionnaire explique chacune de ses ramifications de la vision créative de son business. Il est, tout simplement, le premier à avoir conçu ses récits comme la construction d'univers entiers.
Plus actuelle que jamais, cette stratégie de l’oncle Walt continue de faire ses preuves. Eric Catmull, président des studios d’animations Disney et Pixar juge un film non pas seulement à sa qualité mais à sa capacité à créer un “monde” qui en découle : “Disney est l'un des premiers à avoir fait évoluer notre définition du mot histoire et à concevoir le récit comme la construction d'univers entiers reposant sur un maximum de supports médiatiques (jeux, spectacles, BD, etc.)."
Une vraie leçon de storytelling : pour passer de ses films animés qui nous ont tous fait rêver au merchandising, en passant par les attractions de ses parcs à thèmes, les jeux vidéo, les médias de télévision et de radio et ainsi devenir une hégémonie. Décryptage ici.
HE SAID IT
SHE DID IT
La première femme maire de Los Angeles
Karen Bass vient de devenir la première femme maire de Los Angeles. Et rien ne la prédestinait à ce rôle. Spécialisée dans l’enseignement clinique à l’Université de Southern California, elle décide de lâcher ce job dans les années 90 au moment où Los Angeles est touchée par la violence des gangs, le crack et une répression policière abusive des communautés afro-américaines.
Et puis tout s’enchaîne. Elle crée d’abord une assoc’ qui défend les droits des noirs et des latino puis fait le grand saut dans la politique en entrant au Congrès comme membre du parti démocrate. Elle devient maire de LA en 2022, soit la deuxième plus grande ville du pays et s’impose avec 3 chevaux de batailles : repenser une ville plus verte, éradiquer les violences policières et s’attaquer à la pauvreté en croissance. Elle se donne pour objectif de sortir 17 000 personnes de la rue cette année.
LIKE HACK
La fin du “solo-freelancing” ?
Dans l’imaginaire collectif, le freelancing c’est travailler quand on veut, où on veut…la liberté en somme. Mais dans les faits, le quotidien est souvent moins gai. Pour pallier à ça, certains font désormais le choix - judicieux- de se regrouper. C’est en tout cas ce que décryptent les CEO de Collective.work dans leur dernière étude.
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